Nous commencerons par ces mots:
"Il était une fois une heureuse jeune fille...
Ayant écrit ces mots, je ne puis m'empêcher de rire. Que diraient les bonnes gens maussades - ces gens qui croient intelligent et vertueux de soupirer, de gémir, que diraient-ils s'ils apprenaient qu'en ces temps réputés exécrables, une jeune bourgeoise de Paris se déclare parfaitement heureuse ?"...
Pour finir par ces lignes:
(Brigitte rencontre le Père Bruno et lui apporte la dernière toile de son mari.)
"-Et maintenant qu'allez-vous faire ?
-Je suis incapable d'aucun projet.
-Et cette chronique de la famille que vous aviez entreprise ?
-Elle s'arrêtera à la mort d'Olivier. Je ne la reprendrai pas.
-Dommage...
-Non. Je ne suis plus la même...
.....
-Vous n'avez jamais pensé qu'une de vos filles pourrait continuer ?...
-Il faudrait que j'y réfléchisse..."
Marie-Agnès prendra la suite de sa mère...Le "premier journal" de Marie-Agnès n'a pas pour moi la même valeur sentimentale...
Par contre, certains livres comme "La fillette à l'âge ingrat" et "Si je n'aime, je ne suis rien" permettent de mieux comprendre Berthe B. et le but qu'elle poursuivait...